ralfa10:Je suissorti de ce train, gare Saint-Jean à Bordeaux. Il était près de 8 heures dumatin, ma
ralfa10:Je suissorti de ce train, gare Saint-Jean à Bordeaux. Il était près de 8 heures dumatin, ma vue était brouillée, j’étais absorbé par mes pensées. J’avaisl’impression de ne pas me tenir debout comme il faut.J’étais sur ce quai, à Bordeaux, et je n’avais aucune raison d’y être. Mon billetpartait de la gare d’Austerlitz et je devais me rendre à La Rochelle.Si enprincipe, les voyages de nuit dans les trains à compartiments étaientinterminables, celui-ci n’aurait jamais dû finir, et même que la gare deBordeaux était trop proche.Au départ deParis, le train était bondé, du monde partout, dans le couloir, dans lescompartiments, sauf celui dans lequel j’avais pris place.Un jeunehomme, militaire très certainement, au vu la coupe de cheveux soigneusementrafraîchie dans le cou, deux filles style baba cool, et moi étions lespassagers de celui-ci. Le train s’en allait tranquillement et je n’avais pastardé à somnoler. Il était près de minuit. Cela allait encore être une nuittrès perturbée….Peut-êtreune heure après, je ne sais pas exactement, j’ouvre un œil et, surprise, unedes deux filles embrassait fougueusement le jeune militaire qui n’avait pasl’air de trouver de quoi protester. Sa copine, elle, se délectait de la scène.Je fis mine de continuer à dormir, mais je ne ratais pas une seconde de cequ’il se passait dans le compartiment. Les mains du jeune homme s’aventuraientde plus en plus vers les parties intimes de sa partenaire. Il faisait assezsombre, et je ne suis pas certain, mais je pense que l’autre, commençait à secaresser l’entre jambe sans rater une miette du spectacle offert à ses yeux.Mon sexeavait bien durcit et j’ouvris les yeux, comme pour signaler que moi aussi, jevoulais profiter pleinement du spectacle. La deuxième fille me fît un grossourire tout en enfonçant sa main dans son large pantalon pour se caresser deplus belle. J’étais très excité mais je n’entrepris aucune manœuvre.Le militairerenversa la fille sur la banquette et lui retira son pantalon qui laissaitapparaitre ses fesses, car elle ne portait pas de culotte. Celle-ci dégrafainstantanément sa braguette pour faire apparaitre une belle queue bien raide.Il ne mit pas bien longtemps pour relever le bassin de la fille et la prendreen levrette devant nous, là sur la banquette d’en face. J’étais terriblement excité, tout comme la deuxième fille quis’approcha de moi pour m’enlever mon pantalon avec une très grande délicatesseet me retirer mon slip pour se saisir de mon sexe brulant et l’enfoncer dans sabouche pour me sucer goulument. Je n’ai pas résisté plus de trente secondesavant de lui envoyer une giclée de foutre sur le visage. En face, le couplerécemment formé s’en donnait encore à cœur joie sans changer de position.Evidemment, je n’étais pas particulièrement fier d’avoir joui si rapidement,mais la demoiselle a repris rapidement les choses en main, et une nouvelleérection arriva dans les trois minutes qui suivirent. En face, le militairejouissait en même temps que sa partenaire. J’embrassai ma partenaire, en ressentant le goût du spermeque je lui avait envoyé dans la bouche et sur la figure. Elle ne tarda pas àvenir me chevaucher telle une diablesse avide de sensations fortes, maintenantsous le regard excité de nos partenaires d’une nuit, très excités à nouveau. Nous fîmes l’amour encore deux fois, cette nuit-là.Je n’ai jamais compris pourquoi jamais personne n’avait cherché à entrer dansle compartiment, alors que le train était bondé. Aucun contrôleur ne nous ademandé nos billets. J’ai raté la gare de La Rochelle, et celles d’après aussi, jusqu’à Bordeaux, ouje suis descendu du train, tout comme le militaire. Les filles ont continuéleur chemin.Nous ne nous sommes pas adressé la parole une seule fois, les seuls bruitsfurent nos râles de jouissance. Sur le quai de la gare, j’ai serré la main du militaire avantd’aller chercher un billet de train pour La Rochelle. -- source link
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