Pseudo femme“Chère muse internauteNous avons imaginéCe fût peut-être une fauteDe pouvoir nous incarn
Pseudo femme“Chère muse internauteNous avons imaginéCe fût peut-être une fauteDe pouvoir nous incarnerJadis on pouvait se direDes vers sans jamais fautéOn aboutissait au pireAux ceintures de chastetéAujourd’hui tout se mélangeUn écran traduit la vieLa femme en pseudo se changeMais pourtant la même envieTu écris je te découvreEt tu te dénudes ainsiJe perçois ta peau qui prouveQue tu es humaine aussiA force de tant surferJe te trouve si légèreA force de tant rêverNous avons quittés la terreNos envois sont des enviesDes soupirs et je supposeQue ton visage rositDevant les mots que tu osesDans ma tête se mélangentDes corps déjà dénudésDes femmes à figure d’angeQue j’ose enfin aborderMalgré le temps et l’espaceLe désir nous brûle maisSans jamais laisser de tracesNous resterons affamésTant de rêves passent ailleursMême heureux on imagineUn autre monde meilleurUn raté dans la routineNous ne l’atteindrons jamaisOu si tard qu’il faut bien vivreUne vie à fantasmerAffranchi des marches à suivreComme pour l’amour humainDonnes-tu autant de fièvreJ’ôte du clavier ta mainPour la porter à mes lèvres.”A.Cayrel -- source link