equatorjournal:Francis Mazière, Bateau à voile, 1959. “Enfin, Hina l'aperç
equatorjournal:Francis Mazière, Bateau à voile, 1959. “Enfin, Hina l'aperçut et lui ouvrit ses bras…. Pauvre Torea, toutes ses plumes étaient cassées et salies, sa tête était tout abîmée, il était épuisé. Hina pensa qu'il avait dû encore se battre et qu'il ne s'était même pas occupé de l'orage qui s'annonçait. C'était le dernier rayon du soleil qui filtrait au travers des nuages, Hina rentra dans sa case. Et d'un seul coup l'orage éclata, terrible, la mer hurla sur le récif. Hina eut peur, mais terrassée de fatigue, elle se blottit près de Torea et s'endormit. Torea resta éveillé toute la nuit, guettant chaque éclair, écou tant le bruit de la pluie sur le toit de feuillage, réchauffant Hina.” From “Hina, la petite tahitienne”, 1959.https://www.instagram.com/p/CMiABqlAvsg/?igshid=1h0pvffpi81em -- source link