À presque un siècle de distance, on retrouve les mêmes procédés d'
À presque un siècle de distance, on retrouve les mêmes procédés d'animation chez Michel Ocelot et Lotte Reiniger: l'ombre (dite) chinoise. On y retrouve aussi le même goût pour les contes exotiques. Oui, ça change de Disney, et même de Ghibli. La seule chose que je n'ai pas trop appréciée dans le film très réussi du réalisateur des “Kirikou”, c'est la diction Barbapapa des acteurs. Les gamins d'aujourd'hui sans habitués à autre chose (de moins pontifiant). “Les contes de la nuit” (Michel Ocelot, 2011) “Die Abenteuer des Prinzen Achmed” (Lotte Reiniger, 1926) -- source link
#michel ocelot#lotte reiniger#exotism#ombre chinoise